Présents :      Mme DEFOUR

                        MM. ALIGNE  - AUGAGNEUR – AZNAR - BEHM – BELIER - BERT - BOUDEBIBHA – COURTOIS - CIMALA – COLLARD – GARAUD - GENTELET – GRAVIER - HIRTZIG – LAVIEILLE – LEGRAND – MOREL - N’GO - PELLETIER – SUZAT  

Excusés :          FAURE - ORELLE – PFAENDER – LAFLEUR - VEILLAS

Avant de débuter la réunion, un tour de table est effectué afin d’évoquer les problèmes rencontrés. Deux points essentiels sont abordés :

            * l’absence de salle d’athlétisme dans la région Lyonnaise. Un débat animé est engagé qui débouche sur une première action : rencontrer les élus de la Ligue du Lyonnais pour évoquer et connaître le dossier le 9 janvier lors de la réunion plénière de la Ligue. Demande sera faite auprès de la Ligue pour assister à la réunion plénière.

            * la durée des compétitions : le problème est relativement complexe dans la mesure où les organisateurs ne connaissent pas à l’avance le nombre d’athlètes présents. Les horaires ne pourraient être tenus que si les engagements soient fait par avance (comme pour les championnats, avec, peut-être une amende en cas de forfait tardif), mais ne seraient connus de tous qu’au mieux 48h. à l’avance (sur internet).

Question reste donc posés.

En préambule, Philippe propose que cette réunion soit pérénisé tous les ans, avec peut-être un colloque sur un sujet transversal l’après-midi, ou plusieurs intervention dans des spécialités différentes.

Il rappelle ensuite les critères d’appartenance aux listes du suivi : athlètes qualifiés aux Championnats de France Piste et aux athlètes ayant réalisés les minima « QE » lors des Championnats départementaux, régionaux ou interrégionaux mais qui n’ont pas été qualifié aux « France » en précisant que le coût par athlètes est passé de 450 F à 200 F cette saison. L’objectif des stages, n’est pas de substituer aux clubs mais d’être complémentaire en favorisant le regroupement (plusieurs de courte durée dans l’année) et la formation des entraîneurs. C’est la raison pour laquelle de nombreux entraîneurs (impliqués dans l’entraînement) sont invités (une vingtaine) durant ces stages. Il espère que tous les entraîneurs « réputés » puisse se libérer au moins un fois tous les 2 ans, pour pouvoir faire partager leur expérience aux autres.

Jean-Pierre HIRTZIG en profite pour proposer de former les entraîneurs de perche qui le souhaite, quelque soit le niveau. Il suffit de le prévenir à l’avance pour le recevoir avec son groupe. Il peut également se déplacer si besoin ait.

Bernard rappelle que les Pôles sont des structures ministérielles dont le responsable national est aujourd’hui Franck CHEVALIER. Actuellement 60% des athlètes de haut niveau y sont rattachés, mais le ministère souhaite que le pourcentage augmente. De ce fait, il supprime les foyers associés pour recentrer le budget sur le pôle même (matériels, suivi médical, ...). De plus, les athlètes devront établir un projet de formation professionnel ou universitaire, afin de pouvoir bénéficier d’aide à l’entraînement (projet qui pourrait être contre-signé par l’entraîneur). Le suivi médical sera organiser par le pôle avec médecins et kinés qui seront seuls habilités.

Le ministère a réduit considérablement les listes du haut-niveau (environ 50%), afin de mieux aider les athlètes (le budget global restant le même qu’avant). De ce fait les critères pour la liste « France Jeune » sont : être dans les 4 premiers du Championnat de France (ou au bilan) à conditions de réaliser une performance minimale (Nationale 2 pour les Espoirs et Nationale 3 pour les Cadets / Juniors), des rattrapage étant toujours possible sur proposition des responsables nationaux.

Bernard rappelle quelques chiffres de remboursements de frais aux athlètes du Pôle, dont, apparemment les clubs n’étaient pas au courant. Le remboursement ne pouvant se faire qu’aux intéressés et non aux clubs (décision du Ministère). Une information sur les sommes versées pourraient être faite aux clubs des athlètes concernés.

Voici ci-dessous la liste du suivi 2001/2002 :

Jean-Jacques fait le bilan de 12 années de formation d’entraîneurs : 408 Animateurs (ou tronc commun) (soit près de 30 par an), 166 Moniteurs Régionaux (15 / an), 60 Moniteurs Fédéraux (depuis 1996 soit 10 / an), 28 Entraîneurs Fédéraux (depuis 1996 soit près de 5 / an).

Le budget de la Formation est passé de 22 000 F en 1996 à 39 000 F en 2001 soit une augmentation de plus de 75 % en 6 ans.

Il rappelle les 4 objectifs de la Formation qu’il s’était fixé :

1 - Fidéliser les candidats de la 1^ère formation : en 5 ans de 72 % de perte (les animateurs cessent d’entraîner) à 52 % sur les 3 dernières années.

2 – Garder un nombre élevés de candidats aux 2^ème degré (ou Moniteur Fédéral) et 3^ème degré (ou Entraîneur Fédéral) : moyenne inchangé depuis 97 pour le 2^ème et augmentation sensible pour le 3^ème (de 3 à 5 /an).

3 – Maintenir le nombre d’entraîneurs présents aux colloques : 465 sur 5 ans soit plus de 90 / an mais petite baisse en 2001 avec seulement 75 présents.

4 – Continuer la remontée du nombre de candidats encadrant au-delà de minimes : après une période faste (1993 à 96) où 74 entraîneurs formés sur 100 entraînaient au-delà de minimes, on est descendu (sur la période 97 à 2000) à seulement 14%. Mais il semble que la remontée amorcée en 2001 soit de bonne augure puisqu’on atteint 26%.

Clôture de la réunion à 12h par un apéritif campagnard.

Web Master : Dernière modification : 29 janvier 2002